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N-I-GM et C FILS variés
28 juin 2016

La n-page 48, de fin.

1613_P-48_text--fac_simile

texte (du mieux possible) de la page 48

de l’édition 1611-01, du site propheties.it de Mario Gregorio

 

1613-page_48_r

                                    Voici la même image, en partie, interprétée selon mes propres méthodes.

note :Vous pouvez consulter le PDF d’un article récemment mis à jour, 3_petitz_v_3_petitz_n_a_pui_cens_vont , apportant bon nombre d’éléments justifiant certaines affirmations de cet article.

On pourrait penser que le « supplément de Seve » s’achève en page 47-v avec les sixains, attribués à la cent. xi, (sauf les 3 derniers indiqués en c.ix). Donc que les suites des centvries xi & xii puis à nouveau xi, en quatrains, représenteraient chez Pierre Chevillot d’autres parties additionnelles. Si l’on se fie au mot fin marquant chaque clôture de livre, on s’aperçoit qu’il n’en est rien : c’est seulement, en page 132 *[C1 vers 1611?] ou page 48, *[C2 vers 1613 ?]ou *[C3, vers 1615 ?]-*réf. Patrice Guinard, que l’on trouve ce 3e mot fin qui conclut après le livre 2, la 3e partie de ces suppléments, qui semble valider ce 3e dernier livre.

 

Comme l’écrit Patrice Guinard dans son article CN 80, (lien site cura), les 12 quatrains en sus des sixains (et non 13) des Ed.[C2]vers 1613 ? ou [C3]vers 1615 ? sont tous publiés en 1594 par, de Chavigny dans « la première face du Janus François »(« Janvs François », lien Gallica, bnf) puis repris (de Chavigny ?) en 1596, dans « commentaires dv Sr Chavigny Beaunois svr les centvries & prognostications » (lien pdf « commentaires », site propheties.it, Mario Gregorio, [Bibliotequenostradamus]). Je donnerais seulement les premières pages (il y a des citations en double, voir en triple) de référence des quatrains dans ces « commentaires » qui reprennent de façon quasi identique (un peu moins embrouillée), expurgée des pages de vis-à-vis, versions latines des pages françaises, dans le « Janus François ».

 

(*liens site propheties.it)

éd.[c2]/[c3]

p47r c.11

 

q.91

p47r c.11

 

q.97

p47r c.12

 

déb. ½ q.4

p48v  c.11

 

½ q.4 -fin

p48v c.11

 

q.24

p48v  c.11

 

q.36

p48v c.11

 

q.52

p48v c.11

 

q.55

p48v c.11

 

q.59

p48r c.11

 

q.42

p48r c.11

 

q.65

p48r c.11

 

q.69

p48r c.11

 

q.71

correspondances

commentaires

(1ère réf.)

(*liens site propheties.it)

Centvrie xi.

Centvrie xii. (et non xi.)

p. 9

q.91

p.28

q.97

p. 69

c.12-q.4

p.27

q.24

p.52

q.36

p.69

q.52

p.68

q.55

p.62

q.59

p.74

 

q.62


p.52 q.65

p.74 q.69

p.30 q.71

 

liens en première ligne du tableau *propheties.it[digital library]/1611-01, et **propheties.it[digital library]/1596-01 pour la dernière ligne

 

 

Parmi les 14 quatrains de Nostradamus cités par, de Chavigny, attribués aux centvries C.xi & C.xii, on note l’absence dans les versions Chevillot de deux quatrains : le n° 21 de la C.xi (p. 54, commentaires, lien site propheties.it/1596-001 Chavigny) et le n°56 de la C.xii (p. 67, commentaires, lien site propheties.it/1596-001 Chavigny). Vous remarquerez en lisant la suite que les valeurs de ces quatrains font l’objet d’un jeu éditorial à la fois au niveau des « erreurs » de numération (et numérotations) mais aussi des mises en page. Par exemple, page 48r, le q.62, devenant q.42, affectera la somme des n° de quatrains de cette page 48r, ce qui avec le doute sur le quatrain n°65, devrait interroger sur les valeurs**voulues (virtuelles)des n° de quatrain de cette page. **une valeur modifiée volontairement & deux autres habilement suggérés.

 

 

Selon de Chavigny ces 12 quatrains sont de Nostradamus. Ils sont, à mon avis, authentiques. Cependant Bernard Chevignard dans « Présages de Nostradamus », (1999, Éditions du Seuil), en désigne un comme ayant été fabriqué par, de Chavigny. Je soupçonne également que le quatrain C.6-Q.100, « Fille de l’Aure  » soit une imitation ; je pense que de Chavigny, pour l’inventer, s’est inspiré du dernier quatrain C.12-Q.71 (à la guématrie si particulière et à la finalité bien différente), cité dans les éditions de Pierre Chevillot, lequel, par contre, n’a pas cru bon de reprendre l’intégralité des quatrains inédits publiés par de Chavigny, dont le C.6-Q.100 qu’il a ignoré en toute connaissance (dates de publication).

 

Les éditions du Ruau ont publié également cette fin ajoutée au supplément de Seve, avec les rajouts des centuries XI et XII, mais du Ruau a cru bon corriger, en indiquant la fin, en Centurie xii, page 40 (sur plusieurs éditions y compris la « 1605 »).On peut entendre là, une astuce, 12+40=13 =52, ou bien 55 (avec c 3). Malgré ces quelques « indices » glissés çà et là, les manifestations de signes sotériologiques et autres références sacrées, restent plus pauvres chez du Ruau, que chez Chevillot (surtout en page 48-r). Il est vrai qu’après cette page 40, « du Ruau » enchaînait alors(vers 1630 ou + mais indiqué 1611), après citations de présages annuels (tirés d’écrits de i.a. chavigny, 1589 & 1594) en fournissant à la suite, la partie 4 (en livre 3)« (le)Recveil des révélations et prédictions de Ste Brigide /... »(« /Ste Brigide/... »1ère -?-édition sous cette forme en 1561-?- Le Mangnier, Paris, avant la version « Nostra Damus le jeune » -imprimée en 1575 à Venise ?-.), détournant la curiosité du lecteur vers d’autres présages.

 En ce qui concerne, les C2 ou C3, je n’ai pas vu de différences notoires concernant les fins d’éditions des parties Chevillot (« /Ste Brigide/... » n’est pas de Chevillot). Il m’a semblé que ces pages 48 provenaient d’un même tirage avec des défauts similaires d’impression. Les différences relevées entre ces éditions, concernaient surtout les page de titre 3 de Seve et le début des sixains.

L’ambiguïté observée régulièrement dans certains écrits en lien avec Nostradamus (entre autres) se retrouve dans la page 48(recto) de Pierre Chevillot. On la constate dans le choix de différentes valeurs possibles, celle du n° de la centvrie, celle du n° de la page, celle du n° du quatrain 65 et celle du mot fin. :

Gr<=> Guématrie de rang des lettres. Certaines analyses sont présentées, dans l’ordre, sous la forme des valeurs venant selon :

 [du titre courant de la page]+[des Gr des capitales initiant les vers]+[des N° des quatrains]+[des Gr de fin]

 

  • Différents indices, tendent à proposer le N°49 pour la dernière double-page (certains sont en amont de cette ultime page : lire l’article en lien plus haut). Nous passerons sur le fait que la deuxième partie de la C3 vers 1615 ? (« Rpopheties etc. ») présente un doublon de la page 42, ce qui placerait réellement la dernière page en position 49. Cette « curiosité » est très peu probante, car d’autres doublons ou une triplette, entachent cette numérisation. Le pdf 189 ou la 1601-01(site Mario Gregorio) ne montrent pas de duplication de la page 42. Par contre sur l’édition 1613, référençée 1611-01 sur Digital Library du site de Mario Gregorio, deux pages différentes (Cent. ix) présentent le n°29. Comme elles sont précédées de 27 et suivie de 30, avec la suite normale des quatrains, on sait que la première 29 aurait dû être numérotée 28. Toutefois, Chevillot nous a habitué à de telles « étourderies »qui cachaient en fait des « signaux ». Par exemple on peut s’interroger sur la « coïncidence » de répétition du 9 : Centvrie ix ; pp 29 & 29. D’autant que la « vraie » page 29, marque le début de la centvrie x, soit 29+10=39, et 40 (valeur du mot roi), en comptant la lettrine A. [Remarquez que si on applique ici, l’équivalence A(aleph)=>13, on obtient alors 52 qui est la valeur du mot sire.]

    En fin de centvrie x, un provocateur quatrain 101 viendra confirmer ce décalage suggéré (ce quatrain sera mis à part par du Ruau). Ces faits n’annonçaient-ils pas le n° 49 pour la fin ? En page « 48 », on remarque un alignement, au tracé, à la limite du « survol », mais restant valide, entre les « Ch »(val 8) des deux « Chaſteau » et le 8 de 48. Dans l’expression « Chaſteau du Ha». Ha est situé sous le 1er Chaſteau avec un ahi-1.5.9.(ref. à la croix des 8 béatitudes). relié à 111+48(159). Ce « Ha »incite à prendre en compte les 3 premières lettres de « Chaſteau » qui valent 9. Elles sont redoublées, cela fait 18, augmentées du « Ha »(6), nous avons 24(moitié de 48), ajoutons le « du » (25), nous obtenons la valeur 49, désignée pour être à la place de 48. On doit alors, remarquer la présence d’un deuxième « A H i » qui pointe également sur le 8 (de 48) et s’avère être altéré, i ne valant pas 9 mais 1(si l’on entend le vocable « inopinable ») ce qui déjà valait 7, mais c’était sans compter le a de Ha, qui valide la cible 8 et encore un autre a du deuxième ha(au-dessus) qui confirmerait la modification de 48 en 49.   Un troisième indice serait fourni par le titre Centvrie XI : on pouvait déjà entrevoir III (base 10, avec Cent(vrie). II(X1), ->cent onze) mais aussi la série III(n,B3npz)-> II(13,B12npz) qui appellerait le I(A, aleph, 13 aussi) manquant (iii->ii->i ; justification dans l’article 3_petitz_v_3_petitz_n_a_pui_cens_vont), I qui aussi, aurait pu augmenter le 48 et/ou le XI. en XII. Car on peut déduire par les enchaînements des Centvries XI-XII de la page47 précédente, le fait que ces derniers quatrains devraient logiquement faire partie de la Centvrie XII, le célèbre quatrain iiii (13×f=78) chevauchant les deux pages : la moitié (12 f )en C.XII, fin-p.47r et lautre (+1 f, le 13e ) en *C.XI, sur le début de la 48v(voir liens). *ou même la centvrie xiii, en tenant compte de la progression, pp 47v cent. ix ; 47r cent. xi /xii ; 48v & 48r cent. xi (xiii ?). (liens : propheties.it ; site Mario Gregorio)

    Avec C(Gr 3), de Centvrie, le n° de page 49, étant fortement suggéré auparavant (dans le livre 2 ou la page), on pourrait alors admettre [3+12+49] comme valeurs du titre courant (une autre valeur globale est possible).

  • Pour le quatrain 65, il faut remarquer la succession rectiligne des L ou l, qui selon, valent 50 ou 12. L’aspect du L de « lxv »(q.65) différent, plus petit et décalé, fait douter de sa validité. Pourtant la valeur 39 des guématries des capitales débutant les vers semble conforter ce 65 (multiples de 13). Si nous recalculons cette valeur en fonction de L=12, le n° du quatrain bien sûr change, d’autant que ce n’est plus un nombre romain : il faut donc appliquer la guématrie de rang pour les 3 lettres l,x,v soit 12+24+20=56, qui est le symétrique de 65.et double de 28(ce qui parait voulu), mais chamboule l’harmonie précédente. La valeur totale (56+guématrie de rang de lettres repérées) de l’analyse du quatrain donne (d’une certaine façon), 117, ce qui avalise son importance.J’ai surligné d’autres éléments dans la page montrant que des analyses qui s’avèrent concordantes, peuvent aussi être rajoutées.

  • Quant à la valeur du mot fin, elle dépend de celle de la lettre I, qui vaut soit le un (romain) ou bien neuf (guématrie de rang), donc elle vaut 20 ou 28.

Ces ambivalences ont des conséquences sur l’analyse de la page 48-R(P. Chevillot, C2 ou C3).

  • l’influence du 56, avec la p.49, et 20(fin):

    [3+111+49]+[22+39+45+32]+[42+56+69+71]+[20]=559=13×43.

    Il faut remarquer ici, la participation de 3 valeurs issues du titre courant de la page :

    3, rang de la lettre C,

    111 (par équivalence de 11)

    et 49 pour les raisons données plus haut.

    Ces 3 valeurs étant issues de 3 éléments séparés du titre, restent donc valables.

  • l’influence du 28 (au lieu de 20)avec 71, le N° du dernier quatrain :

    Bien sûr, avec 71 additionné à la valeur 20, on obtient 91, un multiple de 13, mais ajouté à 28, on obtient 99 qui est bien plus significatif grâce à son équivalence avec 117. Une correspondance connue et confirmée par le quatrain 101 de la Centvrie X. ( lire heritier des crapaux)

  • l’influence du 28 (suite 2)et le n° de page 49 :J’ai aussi proposé 20(fin)+49(avec le n° de page déduit ), car ce nombre 69 marquait une ambiguïté. Toutefois, essayons également avec 28+49=77. Ce nombre est bien sûr intéressant (en lien avec l’oméga). Il faut alors se rappeler qu’il y a eu deux mots fin, auparavant pour les livre 1 et 2. Ces mots valaient (traditionnellement) chacun 20. Ajoutons les, pour obtenir 40+77. Une fois encore nous retrouvons la valeur 117. Ce n’est pas sans rappeler (voir 4-Un curieux alphabet ...) l’alpha et l’oméga associé au Chrisme (XP, ). L’oméga étant calculé 25(25e lettre)+sym(25) soit 25+52= 77, le Chrisme valant 39, cela faisait 1+39+77=117.

  • l’influence du 28 (suite 3) et 138, la somme des guématries de rangs des capitales initiant les lignes (hormis pour fin) cela donne 3(c)+138+28=13×13.

  • l’influence du 56, (au lieu de 65mais avec fin=20 et le N°de page=48:

    [3+111+48]+[138]+[42+56+69+71]+20=555=5×111. Cette valeur pourrait être symbolique et faire référence à l’année 1555, pour la première parution des « Prophéties » de Nostradamus : 58 ans d’écart (5+8) avec 1613(il semble cependant, selon les essais qui précédent, que la valeur 28 soit ici, préférable pour le mot fin ).

  • le n°12 (logique) de la centvrie, le n°de page=49(déduit), le choix du 56, ainsi que celui du 28, pour fin :

     

    [3+*12+49]+[22+39+45+32]+[42+56+69+71]+[28]=468 soit 4×9×13=4×117

    *Cette correction de 11 et de 48 peut sembler abusive. Du Ruau avait corrigé 11 en 12 mais en page 40(+12=52). Ici, Pierre Chevillot semble donner l’alternative [12+48] ou bien [11+49] => 60. Des indices suggéraient l’importance du 117(lié au 60). On mesure l’effet prépondérant de l’usage inattendu de la valeur 28 (en lieu et en place de l’habituelle valeur 2o), ayant un rôle dans l’obtention de 169 et de 99, deux nombres importants. Le fait qu’elle soit astucieusement confirmée par la modification du n° du q.65 en 56, le double de 28, nous incite à conserver cette modification. Il faut alors remarquer que [12+**49]+56=117, ce qui fait comprendre que 48 et 11 doivent tous deux, être augmentés d’une unité : 11, semblant être pris ici, pour 13 (11 en base 12npz). Cela rajoute bien 2 unités.

    **Il ne faut pas se focaliser sur le fait que ce soit vraiment la page 49 (4+9) , ce qui compte est que ce nombre soit fortement suggéré.

     

    Je vous avais laissé entendre dans un article précédant, que Sentvrie, alias de Centvrie ou mieux encore, Sentier V, pouvait, pour d’obscures raisons(croix des 8 béatitudes), valait 156. En réalité Sentvrie *peut valoir 117( avec n =26 en référence à נ‬ noun, 14e lettre de l’alphabet hébreu). *selon les astuces utilisées, il existe plusieurs variantes de numérations pour "Centvrie".

     Nostradamus privilégiait la dualité et la trinité ;« De ( 2) mer copies en trois parts diuiſees ... » (Nostradamus, C.9-Q.57« Les prophéties » à partir de 1568). Ces valeurs 156 et 117 se retrouvent dans des compositions comme celle de 942q. qui doit être réduite à 936 par le retrait de *12 ½ quatrains contenant le terme copie(s) : 156×6=8×117 => 936=2×468 (*lire l’article 42-Rendez les copies !).

    Les références répétées au nombre 117 semblent valider 468 : En décortiquant les compositions de ces compilations « par Pierre Chevillot », j’avais trouvé vn autre nombre en lien avec 468. Ce serait bien le Nombre à trouver dans cette mise en page énigmatique. Je me doute bien que nombre de lecteurs seront sceptiques, ce qui est dans l’ordre des choses, puisque les auteurs de ces signes et énigmes, semblent avoir voulu cela. Malgré ce flou intentionnel, et l’usage de valeurs alternatives visant à semer le doute, on devrait quand même admettre ce résultat sans invoquer un heureux hazard combinatoire, car les valeurs utilisées ici, ont été choisies méthodiquement et tiennent compte d’indices persistants.

Remarques complémentaires sur l’image avec des surlignages :

(en partant du haut)

Le titre courant en guématrie (pleine) de rang des lettres + chiffres(B10) en clair, vaut Centurie, 111, + X ,I, 33 +4+8 = 156.

L’alignement vertical des 3 L(numéros de quatrains), hormis celui de « lxv », vaut 150, le F(6) étant inclus, cet axe «  sacré » vaut 156 (4×39). On peut considérer que le titre forme un axe horizontal, soit la barre supérieur d’un grand T, avec l’alignement vertical précédant, comme barre verticale. Ce symbole valant 312 est en lien avec la croix des huit béatitudes. On pourrait cependant redoubler le Nœud de raccordement VT(39 ou 3×n ou xp) afin de retrouver le ternaire exprimé par la lettre(3 branches) soit 351 = 3×117. Bien que ce 39 paraisse une « vue de l’esprit », il est historiquement cité () et sa valeur ne représente qu’une partie (très) trinitaire d’une réalité mathématique : *T(26)=351 et Σ(T125)=25×117, *T représentant une "fonction tetraktys" [T(1)=1 ; T(2)=3 :... ;T(n)=T(n-1)+n]. [Par ailleurs, il existe une alternative de numération de titre courant donnant 117.]

 « Gyrond » équivaut à « Girond »(i=1) Le y passe dans Eiouas => Eyouas(anagramme), pour devenir

Yeovas (~81 ; échange u/v) ou Jéouas (o=5 ; val.78), mis semble-t-il, pour suggérer Jéhovah, 78,  (lien Wikipedia), *sans l’écrire vraiment (*lire l’article ; excusez-moi d’avoir du le faire). La confirmation de l’interprétation semble apportée par [lac L] (de « lac Leman) » qui vaut 65, mais qu’il faut « eslon-gner »(eslon=65) éloigner, et aussi, contraire de ral-long(n)er ce qui expliquerait le 65 de lxv trop proche de «  Eiouas » qu’il a fallu « raboter » en « lxv »=56. La proximité du l(L, 12)  dans [lac Leman]valant 99(117 en B12npz), suggère pour la lettre m de « man », d’élever sa valeur de rang 11 base 10 à 11 base 12npz(valeur 13, en B10), cette opération est appuyée par « Supelman ». Dans un tel contexte, il serait dommage d’ignorer l’équivalence a=>13(aleph) ce qui donnerait man=39. Comme il y a trois « man » cela équivaudrait à 3×39=117. On avait déjà vu cette référence auparavant: «je suis au bout de mon latin. Si Marinus *Novetus Nucensis ne dit pas, de **neuf manières, Bèze, je jette ma langue aux chiens.»Francois Buget(FB) Bulletin du Bibliophile, 1861, partie B, page 259 (lien Google).

 [*Ici ce N équivaut à A(aleph=13), indiqué par « neuf manières ».] [**il semble que pour cette citation énigmatique, FB ait tiré son inspiration de cette page 48. Initialement, j’en avais déduit le nombre 117, (à partir de « Bèze, ... »). Or, si « neuf manières »peut valoir 39, cela peut aussi être redondant : 39 étant admis pour man, la valeur de « neuf » sera prise comme nombre 9 : 39=351.]. L’analyse de FB est très pertinente : la somme S des valeurs de rang pour un alphabet à 25 lettres, de 1 à 25, <=>T(25)=325 (25×13), mais avec le triplement de la valeur de n,(indiqué par xp, ) on obtient bien 351.

Pour terminer avec les concordances alimentant mon analyse précédente, sachez que pal-ais qui surplombe le mot fin vaut 28+28. Non seulement cela avalise le 28 du mot fin, mais aussi la correction du n° de quatrain 65 en 56. On constate que si on ajoute les 3 L=150 avec, au lieu de F(6), les 3×28 finaux on obtient 150+3×28=234 soit 2×117 ou ½ 468, ce qui suggérerait de compter le titre courant pour une valeur de 117 (voir l'hypothèse sur T, en début d'encadré ), afin de retrouver la valeur 351<=> « c3 h5 a1 »(en Alf.3), mais « c h a » de « Chaſteau » vaut bien (si i=1) le « c h i » des « chiens » de François Buget (« chiens et chats »(121)?).

Auparavant, nous avions trouvé 468 un nombre qui intégrait des éléments significatifs observés dans cette page 48r. Un facteur trois, incontournable, semble probable par le T transcendant observé mais le doute persiste, car une alternative entre 117 et 156 demeure : 3×156=468=4×117, avec 39 comme facteur commun, ce est intrinsèquement trinitaire, puisqu’il vaut 3¹+3²+3³.

Il est appuyé par sa moitié, 6×39, soit 234, que nous découvrîmes ci-dessus(fin encadré rose, précédant) dans un axe médian vertical symbolique. La relation avec son symétrique 432 s’avère aussi intéressante, car elle est historique. J’avais également indiqué cette « allusion » en montrant les compositions des compilations de Pierre Chevillot(lisez 3 éditions Chevillot -suite

ou le PDF Propheties_nostradamiennes_au_17eme). Tous ces nombres sont à relier au nombre 900, une valeur numérale associée à la dernière lettre hébraïque ץ, Tsadi Sofit de valeur de rang 333(base 3 npz) équivalent à 39 (lire 56-Points de vue).

L’analyse de la page est cependant incomplète : une valeur plus aboutie reste à trouver.

J’ai passé sous silence quelques autres compléments, et un trompeur mécanisme « conjuratoire » déjà évoqué dans d’autres articles.

Il y a également une anomalie, une énigme en fait, dont la solution devrait vous mettre sur la piste de la « partie omise » dans ces analyses, qui vous montrera la relative complexité de la totalité de cette page démiurgique.

 

 

 SergioH, le 28 6 20 16

 

 

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