90-l’Influence de Chavigny à partir de la « 1605 »

6 septembre 2017

90-l’Influence de Chavigny à partir de la « 1605 »

mise à jour le mardi 3 octobre 2017

-L’essentiel de cet article se trouve dans le PDF en fin- (ce PDF est mis à jour souvent : vérifiez les dates de temps en temps)

52 degrés © SergioH 2017

d’après l'ouvrage de Jacques Pineaux,

« La polémique protestante contre Ronsard » édition Marcel Didier, Paris, 1973,

extrait p. 181(citation sans aucun but lucratif)

Numérisation 2017, SergioH (exemplaire personnel)

Je reviens sur, et j’affine des éléments déjà publiés dans ce blog, concernant les différents quintils en latin de Nostradamus, Duruau et Criniti (ou Crinitus) et le quatrain, que je pense inventé par de Chavigny, « Fille de l’Aure » placé selon la recommandation de Chavigny, comme 100^e quatrain de la centurie 6 (elle n’en avait que 99 auparavant).

Je réaffirme mes opinions sur le rôle, un rien sournois (ou subconscient) de Chavigny à l’occasion de cette suggestion, alors qu’il ne cessait de clamer haut et fort son admiration pour Nostradamus. On ne pourra cependant manquer de reconnaitre le rôle non négligeable qu'il a joué, dans la prise de connaissance de Nostradamus, et de ses œuvres par le public.

Tout cela, bien sûr, appuyé de moult explications, justifications, liens et citations.

Un autre avant goût de l’article, une copie d'écran d'une partie de l'article (partie modifiée depuis le 6.09.17) :

Voyez la suite en bien plus net dans le PDF (avec l’analyse du <legis gautio> de Duruau (ou de Chavigny?)

Un extrait de texte plus loin :

[Ne retirons pas, à <Chavigny>, le fait d’avoir eu le courage, en persistant, de défendre ses prédictions, montrant par là qu’il était persuadé du bien fondé de ses calculs. Mais dans le contexte complotiste de l’époque, on ne peut s’empêcher de se demander, si son entourage (initialement si proche des Guises) n’avait pas volontairement encouragé le penchant d’un courtisan attentif à plaire au monarque par des propos trompeurs et lénifiants, endormant ainsi la vigilance du Roi Henri IV et des siens. À moins que, en gardant ses falsifications à l’esprit, qui pour certaines, ne manquaient pas d’une ingénieuse perfidie, l’on ne sous estime ainsi <Chavigny> et qu’il se fut prêté, bien volontiers, à ce jeu machiavélique, (← lien Gallica)-]