3 éditions Chevillot -suite
suite et fin de l’article Troyes : Les éditions
Récapitulatif de « 3 années » d'éditions des prophéties de Nostradamus par Pierre Chevillot :
numérotations en double-pages visibles, selon l’année, sur la page de gauche ou bien de droite.
[Chev-1611] RR1 Recueil** relié 1611 ; N° (presque) en continu sur la page de gauche |
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livre 1 : partie A (1557 Budapest) + Legis cantio |
livre 2 : partie B |
« livre » 3 : partie C |
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Cent. I à 5 |
Cent. VI |
Cent. VII |
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cent. VIII |
cent. IX |
cent.X |
Supplément Seve |
Cent. XI |
Cent. XII notée XI |
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préf. à César |
100 quatrains /cent. |
99 + « Legis cantio » |
39 |
épître à Henry II |
100+6 quatrains en fin |
100 q.(chapeaux fautifs) |
100+1 quatrain en fin |
épître à Henry IV |
58 sixains : 3, 52, 3 |
2 quatrains |
10 quatrains |
[Chev-1613] Je n’ai pas de lien certain vers un exemplaire d’édition 1613 par Pierre Chevillot tel qu’il est décrit par P. Guinard. Par contre le site de Mario Gregorio semble pointer sur une autre version indiquée 1611 (lien PDF) qui pourrait, compte tenu de sa première partie à 642q et 5 quatrains après la C.VII, être une « 1613 » avec cependant une préface à César tronquée (dernière page seulement) et une première page de titre doublement fautive : « RPOPHETIES… » mais qui aurait dû être en début de 2e livre (où elle manque) mais elle pourrait aussi bien être une édition 1615 n’ayant pas à la suite de la centurie « 11/12 », la très suspecte partie C ou livre 3 de la 1615 (…/Ste Brigide/…). Quoi qu’il en soit, la numérotation des double-pages se situe en page de droite contrairement à la 1615 (celle en lien du CN 80). Pour le reste son contenu est très similaire à la [Chev-1615 A+B]décrite dans le tableau suivant.
Cette version « incomplète », numérotation à droite aussi, correspondrait à celle complète, ci-après, (une version hybride ?) avec la partie Ste Brigide en fin
Donc, une version similaire correspondant au descriptif de Patrice Guinard pour la 1615 avec en plus cette partie (…/Ste Brigide/…) existe sur la « digital librairy » du site, elle est aussi datée de 1611, en toute logique, puisque la dernière partie affiche cette date. Cette version de 360 pages d’un seul volume, ne présente pas de répétition de pages de titre. Un portrait de Nostradamus, se trouve en double-page 2. C’est une amélioration qui devrait placer historiquement cette édition en dernier dans le trio (11, 13, 15), quoique*,tout au moins pourles parties historiques des deux premiers livres et le supplément de Seve avec les sixains et les additions de quatrains supposées être de Nostradamus. *[amélioration ne signifie pas postériorité de l’édition]
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[Chev-1615 A] LR1 Livre relié 1615 -partie 1 (ref. P.Guinard) N° sur page de gauche |
+[Chev-1615 B]LR2 Livre relié 1615 -partie 2 (ref. P.Guinard) N° sur page de gauche
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livre 1 : partie A (vers.1557 Utrecht augmentée) |
livre 2 : partie B |
« livre » 3 : partie C ; deuxième numérotation |
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Cent. I à 5 |
Cent. VI |
Cent. VII |
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cent. VIII |
cent. IX |
cent.X |
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sixains |
Cent. XI |
C. XII marquée XI |
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préf/César |
100 quat./cent. |
99q.+ « Legis cantio » |
42q.+ 5 q. |
épître à Henry II |
100+6 q. en fin |
100 |
100+1 q. en fin |
épître à Henry IV |
58 sixains : 3, 52, 3 |
2 quatrains |
10 quatrains |
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1613 ou 1615 (1+2)=[500+99+1]+42+5+[100+6+100+100+1]+[87*+2+10]=1053=3×3×3×3×13 quatrains*équivalent de 58 sixains en quatrains mais aussi version 6 septembre 1557 (Utrecht) =642 +[5+6+1+2+10](quatrains additionnels) |
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+ ? [Chev -1615 C]LR3 Livre relié 1615 -partie 3 (réf. P. Guinard) partie rajoutée, à mon avis, N° sur page de gauche |
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Recueil***« …/ revelations de Saincte Brigide/…&c » ces textes ne sont pas (donnés, comme étant) de Nostradamus |
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* Ce terme « recveil » ne semble pas avoir été utilisé par Chevillot.** Par contre « recveil »apparaît ici, on peut donc penser que c’est Du Ruau qui l’a introduit puisqu’on le retrouve dans la dernière partie (4) p. 294 (du PDF) de l’édition 1611 (lien plus haut). Sa guématrie pleine vaut cependant 78 ou selon (v/u), 77. Ce ne sont d’ailleurs pas les seules guématries accordées aux signes sacrés qu’on puisse trouver, mais De Chavigny avait déjà semé le doute. La Compagnie du St Sacrement. (39 en initiales) avait ainsi annoncé la couleur à sa création, elle se sentait tout à fait de taille à répondre (à qui que ce soit) sur le terrain de cette symbolique sacrée. [Si des signes lettrés s’accordent parfois, les astuces paraissent moins fréquentes, ni aussi élaborées que celles des ouvrages de Chevillot]
Le choix des dates de publication avait son importance, comme Nostradamus, De Chavigny semblait en tenir compte (voir l’article Six & C un, Sept) il « usurpa » le procédé en publiant à Lyon, chez Pierre Rigaud, le « Janus François...&c » en 1594 , 26 ans après la publication complète des « Prophéties » , débutant le 4 mai 1555 à Lyon, chez Macé Bonhomme et qui furent « achevées » 13 ans après, par le 2e livre en 1568 à Lyon, chez Benoit Rigaud). Puis de Chavigny fit ensuite publier les « Pléiades » en 1607 (une date annoncée par Nostradamus) soit 52 ans après 1555. Ce 555 de 1555 était déjà manifestement lié au 55 par la suite 5- 55- 555 (les 5555 ou même 55555 existent indirectement par cette date 4.5.1555) ; le 1613, l’est aussi d’une autre façon en prenant comme référence l’année 1558, une date annoncée sur les pages de titres de certaines publications citant une édition jamais retrouvée (mais n’était ce pas plutôt la symbolique 5↔8 →13 qui voulait être évoquée comme avec le 6↔7 ?), car 1613-1558=55. Bien que Chevillot fasse aussi allusion au nombre 52 par la disposition des sixains, 52 = 44 en base 12 npz, et que le 55 évoque dans cette base 12 npz,, le nombre 65 (nombre lié aux carrés magiques 5×5), ce nombre n’est pas à négliger pour autant, car il est un des termes de la suite tetraktys (de Pythagore), il débute un trio symbolique important soit T(10) ; T(11) ; T(12) donnant 55, 66, et 78 ou bien [45+10, 55+11, 66+12], car T(n) = T (n-1) + n et 10+11+12=33 (nombre symbolique fréquemment évoqué par les francs-maçons notamment), platon également, suggérait l’importance du 5. Étant entendu que l’alphabet 3 (que je propose) se calait sur une grille 5×5 de 25 lettres (et non 26). |
Les éditions troyennes de Chevillot montraient un dispositif d'identification manifestant de nombreux signes de différentes natures:
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l'article en PDF :
Propheties_nostradamiennes_au_17eme
SergioH, article antidaté au 25/09/14 pour le reclasser (en 3e) à la suite de l’article Six &C un, Sept