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Bien sûr le précédent article méritait un petit complément d'information. On peut par exemple, se demander pourquoi autrefois, "on" attribuait des vertues magiques à cette série de guématrie révélée par Gaspar Paucer dans son livre "les devins". Revoyons la grille que je vous ai proposé décalée par rapport à celle proposée par Gaspar Paucer, je vous la présente de façon plus lisible et plus détaillée :
tout d'abord le détail d'une case :
La grille sous une autre forme de présentation :
Pourquoi ai-je mis à part le A ?
On en voit les conséquences avec le décalage introduit : les rangs (l'ordre n) des lettres (à droite de chaque lettre) impairs sont un diviseur de la valeur de sa guématrie (nombre de la série), par contre pour les rangs pairs, c'est la moitié de cette valeur qui est un diviseur. Vous avez aussi remarqué le chevauchement de ces diviseurs d'une case à l'autre. Bien sûr il existe une petite formule pour passer d'une case à l'autre. Vous pourrez la trouvez, j'en suis sûr mais vous la présenter enlèverait toute la magie visuelle du jeu. Regardez attentivement.
Le A est à l'image de l'alphabet d'origine servant de comparaison avec les autres ce qui avait réduit le nombre à 39 pour obtenir des grilles de substitution. A est l'élément primordial grâce auquel tous les autres peuvent être comparés. C'est disons, conceptuel.
Cette grille représente 24 éléments plus la monade A qui n'a pas valeur de 0 (zéro) mais représente bien l'unité primordiale. Pour initier la série, nous devons réduire la valeur du B en la divisant symboliquement par deux. Cette division se retrouve pour toutes les lettres paires. Quoiqu'il en soit nous lui conserverons arbitrairemnt ensuite sa valeur 2 de rang. Ce qui nous permettra de conserver notre trinité.
On observe dans cette figure la primauté de l'impair sur le pair. La série impaire est continue et se redouble par groupes de cases consécutives, la série paire redouble aussi mais saute 4 cases pour atteindre la valeur suivante, en clair : il n'existe pas de valeur de multiples pair-pair dans cette série. On observe le même phénomène que dans les carrés magiques : les ordres impairs sont aisés à manipuler au contraire des pairs et c'est encore pire pour les ordres pair-pair. Il existe une règle cachée aidant à la construction de carrés magiques particuliers. C'est cette règle qui met en évidence que ces carrés pair-pair sont un peu plus difficiles à élaborer au contraire des impairs, faciles à réaliser : y a-t-il un rapport entre ces phénomènes mathématiques ?
SergioH le 4.8.13 accueil
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