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N-I-GM et C FILS variés
14 juillet 2013

11-Commentaire SATOR sur un article de chantsdamour.canalblog

 

 

 

 

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Pour appuyer certains de mes propos faits sur la série Sator/rotas sur

http://chantsdamour.canalblog.com/archives/2013/05/08/27106149.html :

 je poste ici quelques images   (Le but de ce blog ne sera pas uniquement axé sur ce commentaire)

La figure  qui suit le carré ROTAS retournement du Carré SATOR,  serait une figure établie par les pythagoriciens démontrant le théorème de Pythagore avec le premier triplet (image qui aura son utilité plus loin). Je l'ai transformée (mais je donne le lien de l'original, ci avant) afin que l'on observe la lettre L dont je parle ensuite ...

Ci dessous  ce carré ROTAS (que j'ai refait) est le point de départ de la discussion :

ROTAS-GRILLE

 

TRIPLET des côté du triangle  : (3, 4, 5) ; .3² +4² =5² => 5 Hypoténuse ;Pythagore_lettre-L

.................3+4 = 7 ;               lettre G,

à part :      3X4 + 5 = 17        lettre R

 monade :     1 ;                     lettre A

périmètre : 3+4+5 = 12 lettre =>    L (4 de hauteur, 3 de base) ;     

acronyme : G.R.A.(A) L.

 Il existe une suite de triplets basée sur le décalage de une unité d'un des nombres membre du théorème (triplet) : voyez l'image située dans l'article a-petite fleur.

 

Le rapport entre ces deux figures pourra vous sembler très mince puisqu'il ne concerne au départ que les dimensions du carré coloré 5X5 montré ci dessus et le nombre de lettres correspondant au nombre de cases. On peut toutefois déjà  remarquer l'importance de la case centrale.

Intéressé par l'énigme du carré SATOR, je lui préfère ROTAS son inverse ou symétrique. 
La raison en est simple si l'on suit les consonnes mis en évidence dans la pierre de Stenay nous remarquons le V qu'elles forment (ou chevron). V vaut 5 en chiffres romains et est la Vingtième lettre d'un alphabet à 25 lettres (il existe différents ordres d'alphabets.) Cela donne 
R-O-T-A-S 
---P-E-R 
-----N 
Ce que je traduis par « (tout) tourne autour de N ». Cette seule interprétation se suffit à elle-même. En effet, elle donne le sens profond du carré. Les mathématiciens (en herbe : ce n'est pas compliqué) trouveront en quoi N de valeur 13 régit un carré de 25 cases numérotées de 1 à 25. Il faut savoir, et c'est utilisé dans l'un des épisodes de l'article cité que de nos jours un système courant de cryptage s’appelle ROT13. Cela fonctionne en faisant correspondre A=>O, B=> P, C=> Q etc.

 L'histoire publiée sur chantsdamour.canalblog.com    comporte huit chapitres. Je n'en commente ou complète qu'une petite partie.          

Je souhaiterais souligner que GRA de Graal, trois lettres soulignées dans l'article que je commente valent 25 (cases par exemple) en numération directe (et non en guématrie). On pourrait écrire aussi Gran en admettant que AL vaille 13 .Il faut alors comprendre en quoi le L majuscule correspond si bien au nombre  12 :

voir plus haut : périmètre  du triangle  (3, 4, 5) ; . = 12, soit la lettre => L (4 de hauteur, 3 de base)

au contraire de M qui graphiquement s'accorde très bien du onze qui est un nombre très particulier et très trompeur (propriétés des bases non pointées par zéro). Sa forme en exprime bien  toute l’ambiguïté. M est aussi l'initiale du mot miroir.

M-un-un

 celle ci est de mon cru  et montre la croix des huit béatitudes simplifiée à l’extrême ...

DemoPyth

Voici en dessous une autre façon  de la concevoir :

en traits bleus et verts les constructions basés sur le premier triplet pythagoricien. La croix est presque droite dans la première figure. Quoiqu'il en soit, la rotation de la croix en X pour être en + (croix) est en accord avec le passage d'un carré numérique d'ordre impair  "normal" en carré magique par la méthode géométrique (méthode don le lien est fourni plus bas). On remarque que les triangles de la démonstration historique (en variation bleu-violet) située plus haut sont identiques à ceux qui entourent le carré 5x5 mais servent aussi, ici, à fabriquer la croix.

 

7x7-or_5X5000000_5X5-croix

L'un des carrés magiques 5x5 était connu des pythagoriciens selon Nicolas Vinel (et Jamblique). Pour l'ordre 5, il l en existe des centaines de mille. En ordre impair comme 5, ils sont plus faciles à trouver (voir méthode géométrique   ). Il existe des séries de quatre  carrés  magiques 5x5 ou en alternance de quatre carrés non tous magiques  (deux seulement). Celui que cite Nicolas Vinel, fait partie d'une série de deux. Pour ses propriétés particulières indirectes, je préfère le deuxième des deux (donné par ailleurs). Quoiqu'il en soit bien que ce soit visuellement dur à suivre, les huit pointes de la croix des huit béatitudes ci dessous correspondent chacune à un triangle rectangle de 3 par 4 avec 5 comme hypoténuse. On pourrait penser que le huit est d'une très grande importance symbolique  mais si l'on observe bien on remarque que les 4 creux sont pointés en angles droit vers l'intérieur. Cela nous fait donc 4, 8, 12 et ne soyons pas en reste, comptons également le centre pour 13 donc ici la lettre N ce qui vous le verrez à l'image suivante, semblait un fait entendu par les concepteurs de la croix !

 La  figure suivante est le fac similé de la couverture d'un livre de Robert Ambelain "Jésus ou le mortel secret des templiers" édition Robert Laffont (collection "les énigmes de l'univers"). Elle serait tirée d'un manuscrit du XIIIème siècle détenu par la Bibliothèque Nationale de France. Je n'en ai malheureusement pas les références. Pour ceux qui seraient interessés, j'ai trouvé une discussion dans un forum  datant de 2006 montrant la couverture du livre..

 XBéa-livre-NB+RLes lettres D et M ont été soulignées par moi (voir Shugborough Hall)... Le W  a  fait douter de la datation d'une telle figure. Il était pourtant notoire que les templiers étaient un peu partout en Europe. Cette lettre signale seulement que cette figure était sans doute originaire de contrées plus nordiques. Trithème ("allemand") au début du XVIéme siècle classa cette lettre en fin d'alphabet. Je vois là une  référence à la minuscule grecque d'oméga ω ; de même que le V souligné dans le carré Rotas (pierre de Stenay) était une référence à la minuscule de Nu ν.       

En "France" le J eut avantageusement remplacé le W, mais  pas à la suite du I ce qui eut bousculé la numérotation de trois lettres importantes mais bien comme Trithème, l'avait fait : en fin d'alphabet. Si on comprend comment fonctionne cette figure, on constate d'ailleurs que certaines lettres changent de place. L'échange du E et du H, entre autres,  est notoire. Tapez "code templier" sur Google vous serez servi (!), [il vous faudra remarquer l'ordre de la première croix de correspondance de lettres et comparer avec les autres.] mais par contre il vous sera plus difficile de retrouver cette figure ci-contre, à moins que cela n'ait été mis à jour récemment.

 Ce qui suit,  est le début de piste pour "Et in Arcadia ego" trouvez la suite. C'est  subtile et quelque part très graphique. N'oubliez pas que LA Mère Loi (et non l'amère) à laquelle faisait allusion Fulcanelli  par une référence  pertinente à Charles Perrault et ses contes de "ma mère l'Oye" , [rajout du 2novembre 13 : MM vaut 22 en base 10   et LO (de l'Oye) qui vaut 26 en base 10 . s'écrit précisément 22 en base 12 ]

Elle est quant aux pistes guidant vers sa compréhension, à la fois audible, visuelle et donc numérique, ce qui donne une bonne idée de ce que peut être cette loi. Nostradamus de façon aussi taquine, eut dit la B-loi ("Le Roy de Blois"). B majuscule étant une lettre "amusante". .A mon goût, la résolution de cette énigme est plus complexe que le carré Rotas bien qu'elle se réfère au même concept.

Raison pour laquelle ses 14 lettres (complémentaires) sont inscrites dans ces 25 cases.

a-et-in

 

Vous remarquerez le procédé connu depuis l'antiquité appelé boustrophédon. Le graphisme du Z (et du N)  ne sont pas sans en  évoquer le mécanisme de zig-zag.

 

En conclusion :

Il ne s'agit pas d'un seul repère sacré mais bien de 4 qui sont utilisés pour attirer l'attention sur les rassemblements occultes de personnes, s'identifiant par ces biais. Ces repères sont en fait tous (relativement) connus. Leurs liens et leurs fondements le sont moins. On remarque encore de nos jours leur utilisation et même parfois leur abus d'utilisation  (le billet de 1 dollar américain regorge de symboles et notamment le chiffre 13)

Il est invraisemblable que les chrétiens soient à l'origine de ces repères sacrés ou signes de ralliement. Les juifs, le sont peut-être, selon l'hypothèse de Nicolas Vinel  , il faut noter que les dimensions de l'un des autels : 5 par 5 et 3 fait 13 (ici N).

La formulation par Jésus Christ de la prière « Notre Père qui êtes aux cieux ... », ( disposition de croix A PASTER NOSTER O) n'est pas nécessairement d’origine exclusivement chrétienne mais peut-être inspirée par la religion juive car sa formulation n'est pas incompatible avec le monothéisme juif.

Je tiens aussi à préciser que Noun (14ème lettre en hébreu), selon sa forme peut se référer au poisson (fermée) ou le serpent ( ouverte) interprétation qui n'est pas nécessairement maléfique.[ Note du 12.7.14 : Depuis cet article, jai relevé de nombreuses références au N, Notamment Nostradamus (dans ses écrits). J'ai d'autre part émis quelques hypothèses quant à l'alphabet hébreu et l'astucieuse raison de son rang 14 dans un alphabet de 22 lettres complétées par 5 autres pour la numération. Voyez pour cela l'article 56 - Points De Vue]

Je pense que l'hypothèse pythagoricienne pour expliquer la source de ces quatre dispositifs, reste la plus vraisemblable. Il semble qu'ils aient eu une très forte influence pendant des siècles. Avec bien sûr, une évolution de leurs conceptions  au fil des découvertes de la secte.

Théocrite  (310-250 av JC),Virgile,  (pour ne citer qu'eux) évoquent l'Arcadie en tant qu'allégorie  (en Sicile) ou bien (comme Virgile)  désigne la région bien réelle située en Grèce. Dante plus tard établira le lien en évoquant ( et invoquant) Virgile. Je  souligne que s'il existe des évocations de lieux mythiques ils sont très souvent, mis en correspondance avec des lieux réels qu'ils soient factices, créés à posteriori, ou à trouver par la quête que dans ce cas, bien évidemment, on ne situera pas au bon endroit. 

Ce que semblent faire Théocrite, Virgile mais aussi Chrétien de Troyes : on n'envoie pas une foule de curieux (même bien intentionnés) dans des sanctuaires cachés sacrés.

Cependant il est également possible que certains juifs peut-être de la secte des esséniens et les pythagoriciens aient puisé à la même source. Un autre hypothèse (toute aussi controversée) est formulée par un égyptologue (essayiste) Ahmed Osman (il a un homonyme) qui suggère que le pharaon Akhenaton (intrus monothéiste dans le polythéisme antique des égyptiens) et Moïse puisent être la même personne.

[petite digression : Quoiqu'il en soit, il existait également des indices d'un connaissance antérieure de l'angle droit : à Babylone  (tablettes d'argiles) ou en Égypte (papyrus) des textes indiquaient sa connaissance  par l'usage des triplets sans doute à tort, dits   « pythagoriciens » mais ne fournissant aucune démonstration du fameux théorème semblant lié au carré Sator]

SergioH Réédité le 14 juillet 13 à la suite d'une catastrophe (fusée perdue?)            accueil

 

 

 

Les commentaires sont activés et  bienvenus (voir espace  plus loin) : après  lecture, je les  publirai à la suite de l'article

 

en général, je réponds volontiers ...

   


 

 

    

 

 

 

 

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