Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
N-I-GM et C FILS variés
22 novembre 2015

Suite du précédent.

3 petitz v 3 petitz n ; a pui cens vont (retour au début) suite 2 : PDF en fin de -once again- (la suite de celui-ci)

SVersvS

© SergioH 2015     

(suite de l'explication sur la vignette du soleil)

 

1611-vignette-titre_livre2-coul2

cliquez pour agrandir

 On a 7 segments/orbites/2 lettres superposées, en alphabet ordinaire (visu ext./int. : e/d, c/b, °a/g , f/e, d/c, a/b, *g/f ) ou par somme de paire, les nombres 9, 5,8 ou bien°sans le g :1 ? puis 11, 7, 3 et *13, [s=56 ou °49 ?] °le 8est une exception : en le réduisant à 1(a) : on n’aurait plus que des nombres impairs dont 13 en fin ; avec alors, la rie (Δ -4) 9, 5, 1  du carré magique, soit les 3 lettres -à l'envers-, a h i (alf 3, templier), de la figure de la croix des 8 béatitudes. La croix interne des nombres du carré n'a que des nombres impairs . L'anneau extérieur montre 28 case-lettres avec une case-croix () + 7 (intérieur)=35 case-lettres, on remarque, en sens inverse du mouvement des aiguilles d’une montre, 5 séquences de 7 lettres (a à g) 𝖆,𝖇,𝖈,𝖉,𝖊,𝖋,𝖌, , soit 35 lettres et la croix (4 branches décale en 5 un d, 4e lettre) cela indique 35+4=39 bien que le 4 puisse valoir aussi 5 (+centre ou 5e rang  nous aurions roi=40, mais ce serait compensé si on enlève g) On peut trouver la notion d’année avec 52 éléments=[1()+35+16],et 52×7j/semaines , ou bien, 28 lettres×13 (f/g), termes égaux à 364, l’entier naturel le plus proche en facteur 13 du nombre de jours d’une année (à ~1 j. ¼). Si le 17 se manifestait déjà par le 17 de R(de rayons), on pouvait le retrouver avec 16 + 1 (centre) et le 35 avec Roy-ans-Soleil. La croix pattée qui se réfère, au Christ,confirme le lien avec les templiers, opposée à un « a », elle serait : α-ω (de bas en haut) le ν (nu) serait bien inclus (α ν ω), avec la pointe, du nez centré, du soleil : « rotas per N ». L’oméga, ici , dernière lettre de l’alphabet (à 25 lettres) serait le J associé à la croix soit anj un acronyme de valeur 26 en initiales mais aussi, avec la somme des rangs, 5×5×13 (325) et +, par le concept) La référence n’étant pas que grecque(24 lettres +Ͳ), en lien avec un alphabet 3 à 25 lettres +10 nombres mais aussi hébraïque, en se fiant à 3¹+3²+3³=39, ou[3+9]+[22+5] [kether (3) valant1(consubstantielle)+9 sephiroth]précédant 27 lettres [22+5] débutant à aleph, 111 (ce 13 en B3npz valant aussi 1).

[L’interprétation numérique de l’encadré bleu, précédant laisse planer un doute concernant la qualité de la paire a/g, pour peut-être, au lieu d’une planète, situer ici la Lune, : ag<=> argent (car « r » est exclu des 7 lettres). Ce fait est confirmé avec l’angle droit avec laTerre, e/d repérée par la , par rapport l’alignement des centres de la paire a/g etle duo (d-e) juste en face, précédant la paire g/f. En réduisant les paires orbites à 6, pour remédier à l’anomalie remarquée, « on » suggère, uneambiguïté entre 1606, sans compter la Lune  et 1607, en ne pouvant pourtant l’ignorer.(cf. ambiguïtés, fin de partie B)]

Une autre confirmation p.124 est cependant bien plus explicite, car on doit remarquer sur le verso plus loin après l’épître de Seve de ces éditions 1611, page où débutent les sixains (lien Google Livres) les répétitions fautives (identiques sur les 2 versions) d’une partie du sous-titre avec « pour les ans corans [sic] ¬[en ce siecle]»(corans vaut 66) et surtout la phrase clé :« cnmmençant [sic]en l’an mil six cens » où on trouve 6 n de valeur 78 et 3 m, valeur 33, (eq 39), le tout égal en base 10 à 111 (13 B3npz) ou aussi par une analogie semblant discutable (équivalence hybride, 10/12npz): 7810+39eq11710 (+), en se rappelant toutefois le « jeu de mot » précédent  [six cens]↔[6 en] qui nous rajouterait six, à cent onze donc, cette partie de phrase vaudrait vraiment cent-dix-sept.

On a constaté donc que les sixains débutent dans cette double page(v.r.) 1241+2+4=7. Double-page où l'on trouve précisément 7 sixains. Pour poursuivre, cette accumulation d’indices, Je rappelle à cette occasion, l'analyse de guématrie (pleine) de « six cens & » (voir la fin d’article Six &C un, Sept) donnait la valeur 110 et le fait qu’en ajoutant la valeur 7 du mot sept (méthode mixte) on obtient un 117 (+) correspondant à « mil six cens &sept » soit 1607,car nous avons bien avec cet enchaînement de pages 122/124 : « Commençans en l'Année mil six cens » & 1+2+4=7 (ou bien le 7 de Ivi (en verticale), jouxtant la lettrine S au 1er sixain( non numéroté), ou les 7 sixains, qui semblent confirmer l’interprétation. Cela montre que l’édition [Chevillot-1] vers « 1611 ? », en étant identifiée comme 1607, et l’édition Antoine du Rosne du« 3 novembre 1557 » (avec 1557 →1(55)7 →117), avaient toutes deux, l’intérêt (mineur) de présenter avec 1607-1557=50 ans d’écart :

[encadré L]Avec ce 50, on comprend que la présence d’un L(50) dans le blason de la [Chevillot C1]par cette lettre, ne saluait pas le début du règne de louis xiii, henry iv n’étant alors, pas décédé, mais marquait l'anniversaire de l'édition du 3 novembre 1557 présente dans la 1607 + le Legis cantio, dont le L n'était pas non plus anodin :La lettre L de rang 12 a des propriétés simples, car sa valeur et sa factorisation, offrent 4 valeurs du triangle rectangle, le périmètre 12, la largeur 3 × la hauteur 4 =2 surfaces d'où S=6, mais avec L=50 (numération romaine) on peut retrouver le lien avec le théorème de Pythagore : (3,4,5): += 2 × [+]=2×[] 18+32=50 Ce L était une façon astucieuse d'attirer l'attention sur l'anniversaire de la version à 639 quatrains (3/11/1557) et de dater la [Chevillot-1] pour 1607 et non 1605 (50 ans avec 1555), tout en remarquant, que 50 n'était toutefois pas un nombre bien en phase avec la symbolique sacrée (basée surtout sur le 13). Car, dans les éditions Chevillot de Nostradamus, on observe une nette préférence pour le 52, qui en 1607 marquait aussi l'anniversaire de la 1555 (4 mai) avec 52 ans d'écart. Nous garderons cette valeur pour des calculs ultérieurs.

Nostradamus avait évoqué dans 3 quatrains « l’an mil six cens & sept » liens : &7-1, &7-2 et &7-3 et un autre, &9 (voir les 4 quatrains ensembles ; la somme des valeurs C et Q ;3+56+6+54+8+71+10+91=13×23), &9, qui ne semblait pas convenir pour 1619, quoique  [quoique, l’on y trouve un enchaînement « invocatoire » « six »([18]+1=9,1=91) ; « yssu »(y=i, soit is19), intercalé d’un « ne feut » 13+6 et« si maling » (finissant par s,i donc sur un 91). Il se peut.que le n°10 de la centurie puisse s’ajouter pour donner «  six cens & dix-neuf » tandis que le n° de quatrain montrerait son symétrique, le 91 (trouvé dans le quatrain) ; remarquez que le 1er  vers débute par un c et le 4e par un q (val 3+16=19).].

Ces quatrains sont cités en fin d’article Six &C un, Sept (lien en début de page). J. A. de Chavigny ayant manifestement perçu certains mécanismes, convoitait l’année 1607 (avec les éditions référentes Pierre Rigaud) pour publier les « Pléiades »(l’apprenti pensait-il avoir dépassé le maître ?), soit 52 ans après la première parution des « prophéties » en mai 1555 à Lyon. J’ai donc tendance, malgré les immiscions perturbatrices de, de Chavigny, à privilégier comme lui, cette suggestion de date faite aussi par les auteurs de l’édition [Chevillot-1] 1611 ?(avec pour 15 pages : 1×3+[13×4]+1×3 quatrains) au détriment du système proposé précédemment (16131611, 1615), car le 52, est fortement suggéré et par Nostradamus et par Chevillot avec les auteurs des sixains).

En entérinant, ce choix de 1607 comme véritable date de la 1611, j’attire l’attention sur le fait que cela remettrait en cause, également, les datations des pages Y et Z, qui devront s’ajuster. Nous venons de voir qu’une 1619 correspondant à la page Z pouvait en effet avoir été annoncée dans les « propheties ». Il y aurait donc un intervalle de 12 ans entre la 1ere et la 3e (afin que 7+19=26) reprenant ainsi une série qui avait été initiée par Nostradamus :1555+13 1568, puis ici 1568+391607. Si 1607 marque l’apparition des sixains, un blason intact (sans écornure)pourrait avoir orné la 1607. On peut penser qu’entre l’impression et une diffusion (d’abord confidentielle ?), on ait pu temporiser : les éditions n’ayant pas été datées permettaient cela.Imaginons que la mort du Roi soit alors survenue, le blason pourrait avoir alors été aussitôt modifié (mis en berne ?), à cause de ce décès. [Il se pourrait qu’il eut existé une édition[Chevillot C1]vers1607 ? avec 1 blason intact,ou retouchéaprès coup (extrait d’image titre 1, Chevillot-1611, num. Google), mais rien n’est certain car la page a peut-être été restaurée :voyez « l’envers du décor »(lien page d’une Chevillot 1611, num. Google, faites défiler).

Pour les pages Y et Z (édition pressentie comme 1619), des indices peuvent nous guider :

Car dans le titre 1 de l’édition [Chevillot-3] vers 1615 ? et la page Z, deux détails intriguent , on retrouve la même faute grammaticale « à » dans « dont il y en à »page titre livre 1 et dans « Ayant, (y à quelques années) re- » au bas de la page de titre 3, épître de Seve, livre 2. En page Z., remarquant que le « Ayant » du début de phrase vaut 57 on se demande si ce 3e « à », accentué n’attirerait pas l'attention sur ce 3×19 ainsi qu’il précède la lettre q donnant 3×a+16=19 et également, qu’en page de titre 1 du livre 1, ce « à » pointerait le t de dessus, dans « nostradamvs », T valant aussi 19, tandis qu’il surplomberait un « a »(iamais) et un « s »(Adiouſtées) de somme 19, ces 4 lettres T, à, a et s (somme 39) étant bien alignés verticalement. Mais ce dernier élément ne différencie pas les versions correspondant à Y ou à Z puisque ces deux éditions ont exactement les mêmes pages de titre de livre 1 et 2 (la Y pourrait alors très bien correspondre aussi à une 1619). Seuls les « Commençans en l’Année mil six cens » et le « à » de la page Z de titre 3 (Seve) font une différence, à l’évidence voulue(insistance en C1).

Bien que nous ayons déjà des arguments, nous pouvons trouver d’autres éléments pour confirmer 1619 comme date de l’édition contenant la page Z.

 

La correction (page 38) de mise en page de la date dans la page de titre de l’épître de Seve (Y et Z) a des conséquences, principalement pour la page Z, justement à cause de à, de « Ayant (y à quelques années) re- ». En effet ce à précède un q (val 16) mais son accent pointe sur le 1 de « 16 »(avec un n dans l’alignement), cette disposition (il y a d’autres justifications) suggère de mettre, la date du [5 Mars 1619] à la place du [19 Mars 1605] afin de mettre deux 16 cote à cote(16-16).

Cela donnerait, au final, le(val 20)+05+mars (m=11) 1619) soit numériquement 20+16+16+[19], ce qui nous permet de retrouver une astuce, valant52, présente dans une page de couverture de Pierre Chevillotde l’année 1616 (voir 3_L_es_Editions_Troyennes), 52,qui je le rappelle, est un nombre omniprésent dans les sixains, le 19 (l’année) étant pour l’instant, en plus.

Pour conforter cette possibilité d’échange, considérez que le zéro de 1605 ne diffère en rien d’un o (lettre) de valeur 14, ajouté au 5 cela fait bien 19, en remarquant aussi que le V de Vincentjuste au-dessus de Mars ferait un cinq (romain) : l’échange proposé vous paraîtrait-il plus crédible ? (ce procédé pourrait cependant s’appliquer aussià la page Y, bien qu’en page Y on ne trouve pas ce « à », mais pasà lapage X (la mise en page est différente).

Cela ne résoudrait pas pour autant la guématrie de la phrase complète, car il reste « au Chasteau deChantilly » pour laquelle il faudrait prendre les initiales : a, C, d, C qui valent 11, ce qui conviendrait en partie (19+11=30 mais serait bancal), il faut alors observer (d’l’importance de cette pagination) que le « de » de valeur 12 est situé sous le a de « Languedoc », l'ensemble a-de vaudrait 13ce qui avec les lettres a, C, C. restantes (val 7) atteindrait 20, auxquels on doit rajouter les 19 restant de la nouvelle date, soit 39 et les 52 trouvés soit 91 en tout pour la ligne. Souvenez-vousque le91 est symétrique avec 19 (quatrains des « prophéties ») ; n’est-ce pas là, une curieuse coïncidence, ?

À priori cette astuce serait donc postérieure de trois ans à l’édition datée de 1616 (cf une édition Chevillot datée de 1616 ; Google Livres),munie de deux blasons écornés (pour marquer le 16-16 ?) Il y a d’ailleurs un dispositif particulier (Je vous laisse le chercher) entre le 1erblason(particulier aussi) et ce 16 16 qui annoncerait la 1619 et implicitement suggérerait la 1613, comme la précédant avec un écart de 3 ans. De là, vient l’idée d’étendre le procédé au trio d’éditions :soit 1607(non datée),+3 ans1610(malheureusement datée)+3 ans1613(non datée)+3 ans1616 (datée)+3 ans 1619 (non datée). Ce dispositif laisserait entendre, malgré l’assassinat du Roy Henry IV sans nul doute imprévu, qu’une édition datée 1610, avec un blason intactpouvait avoirété programmée pour cette année-là.

En fait, dans la page Z, le à de « (y à quelques années) » permet de la distinguer comme bonne page pour l’échange, en pointant sur le 1 de 16,mais on peut considérer aussi, que l'A et le six de « Commençans en l’Annéemil ſixcens »en tant que valeurs peuvent compter avec 13 + 6 puisque cet avis est en plus, par rapport à la page Y. Bien sûr nous avons été guidé ici par les autres éléments déjà trouvés. Par exemple le choix du six n’est pas anodin, car ses deux premières lettres valent 19 ou 91 selon le sens de lecture(six vaut 39 quand x=4×5 [v romain en rotation]). Il y a un autre élément qui confirme cela :nousavonsvu que la numérotation de la page était en rapport avec l’année (ex. pour p.124), ici19+38=57 =3×19 (comme pour la valeur de « Ayant »)Pour 1605, 38+5=43 n’est guère concluant dans ce contexte.

101Cette insistance sur les années1515(voir en partie B) ou sur 1616, nombre appuyé par Chevilloten marquant le dispositif qu'on vient de voir, pourraitvous sembler être un jeu bien puéril. Elles'appuyait sur la propriété du nombre premier101qui, utilisécommefacteurd'un autre entier, 15 par exemple,créait unnombrecomportant cetentier redoublé tel 1515, établissant le lien avec l'astuce similaire deRabelais. Ces dates faisaient aussi référence au 1111(40 en base 3npz,valeur du mot Roi) mais surtout au nombre1313(13×101)qui, c'est moins facile à deviner, se trouvaient être, d'une certaine façon (pas que pour le facteur 13), directementlié,au117(9×13), ou même, indirectement,avec le symbolique 143 (11×13).

Le 101 génère des doublons, il est l'avertisseur d’une ambiguïté intentionnelle (il peut être caché en guématrie). Ce procédé combinatoire trompeur ne se réfère pas aumiroir,signalé par le 11 (M ou sa valeur dans une base npz, par exemple N,13 en B12npz)et au renvoi d'une image numériqueinversée mais à des ombres chinoisesprojetant deux silhouettes à l'identique. On pourrait de même façon tripler ou encore plus, exemple : 15×1010101=15151515 etc.; Les zéro intercalés sont pour visualiser le jeu en base 10 (avec zéro) mais il ne s'agit que de jeux matriciels de chiffres qu'on peut adapter quelque soit la base (y compris les bases npz,comme pour 117).

Nous trouvons là, avec ces publications « ParPierre Chevillot » datéesde 1610et 1616,des éditionssisesde façon ternaire,autour d'une compilation pivotnostradamienne estiméepour 1613(?).Elles servent aussi deréférencesplus subtiles, à Nostradamus, avec le 5555 (mai4+1 555)et aussi son discret 1212, avec lequatrain 12 de la Centurie9(3+9), « simulachre au lac »,tressé de l ou L(12),qui grâce au mot« lac »=16et k=10, klac valant 26s'avère désigner unmot clé issu de grilles citées,dans-l’article Bac Mac LAc, cela demandait plus de connaissances pour pouvoir suggérer ce lien.

Remarquez que 1607et 1619 à l'entour de1613 désignaient aussi la valeur 26. (suite + loin)

 

[1616 fut aussi l’année où parut le 3e manifeste rose-croix (article Wikipedia) à savoir « Les Noces Chymiques de Christian Rosenkreutz »lien Gallica BNF, de la traduction de l’ouvrage de l’allemand en français, par Auriger, Chacornac en 1928 (un lien sur Christian Rosenkreutz, se trouve dans le 1er encadré de la partie B). Il est très probable qu’au moins une, si ce n’est deux, des éditions nostradamienne Chevillot fut alors connue en « Allemagne ». On peut même se demander si l’assassinat de Henry IV n’avait pas entraîné les premières publications rose-croix.]

La confirmation de la date 1613 pour la page Y date semble bien plus délicate :

Un aspect visuel de la page Y peut pourtant nous donner une (vague) indication : le bandeau du haut de page ne couvre pas toute la largeur : elle indique une étroite colonne de lettres (en verticale donc) non couvertes soit P, R, P, le, et m 15+17+15+20+11=78 la lettrine S termine la colonne, elle est englobée (en partie) mais par déférence pour sa majesté nous prendrons la totalité de l’expression Sire qui vaut 52. On s’arrête là, car l'ensemble dessine alors un L(qu’on devine ébauché à gauche dans l’encadrement de la lettrine).Donc cela nous ferait 130. On aurait pu continuer avec les lettres suivantes : A, c, ſ, d soit 26 en plus donc 156 sur la hauteur. soit 10×13 +2×13 Il faut comprendre que la difficulté de l’exercice de confirmation du treize, en page Y, vient du fait que ces pages du « supplément de Seve » sont caractérisées par l’omniprésence du (multiples ou assimilés),cela est vrai, à fortiori, pour la page Y.

En cas de doute, et c’est le cas, s’il nous manque une seule date d’édition sur trois, en tenant compte de la règle de PAPe qui reste valable puisque pour la 1611 (ou supposée 1607) qui nous a donné l’indice, nous avions en page de titre de Seve, un autre PaPE (avec Pa de « Paeſenté »), comme 1607 et 1619 semblent bien indiquées nous aurions alors 7 + ?+19 = 26, ce qui donne l’indication qu’un 13 serait très souhaitable afin que 7+13+19=39 : cela augmente la pertinence mais n’offre pas non plus de certitude.

D’autres confirmations peuvent se trouver pour cette date de la page Y. Il est flagrant que l’expression « pour les ans covrans [en ce ſiecle.] devient le sous-titre important en l'absence remarquée du 2e,« Commençans en l’Année mil six cens », ce sous titre prend le dessus. Nous avons alors e(8) et c(3)=11 qui s’ajoutent au 38 de la page soit 49, avec une opposition 4913, qui serait alors confirmée par ſiecle pouvant valoir 39, dans ce contexte (i et l valant alors 1) et, c’est aussi notoire, l’absence de « l’Année »de *valeur 55(1555), que j’avais, à juste titre, relié avec « l’Autheur » (dans l’étude de l 'avis 2 que nous retrouvons ci-dessous) fait référence, sans discussion possible, à Nostradamus (il est l’auteur désigné par ces écrits), or cette absence remarquée (de « 

Publicité
Publicité
Commentaires
Newsletter
Publicité
N-I-GM et C FILS variés
Visiteurs
Depuis la création 25 247
Publicité