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N-I-GM et C FILS variés
25 janvier 2014

Cube Image Special Induit. (çi si !)

Ça faisait un moment que je n'avais pas publié d'image un peu plus élaborée que les dernières (simples par nécessité).

Histoire de me manifester un peu, je poste cette image qui comporte quelques références ... On aime ou non.

J'aurai  bientôt quelques idées à vous soumettre également mais ils faut qu'elles parviennent à plus de maturité.

 

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39_25-14

"39_25-14". réalisation © SergioH 2014

(A)- Début des Prophéties - Centuries -Notradamus

En attendant ces considérations et  comme souvent, je rajouterai un  texte, n'ayant qu'un rapport indirect avec les idées évoquées  plus haut. Le travail d'autrui me semblant devoir avoir  une légitime reconnaissance, les éléments suivants proviennent une fois de plus du site de Patrice Guinard, Nostradamica. (J'ai vu que wikipédia établissait aussi un lien, avec ce site, sur ce sujet). Il me fallait des éléments sur la première édition des centuries. Les exemples ne manquaient pas mais j'ai opté pour ceux fournis par le Dr Guinard. Il s'agissait là, d'éléments de réflexion et non de "pillage" vous comprendrez en lisant la suite.

Vous aurez peut-être besoin de vérifier  dans cet article, certaines numérations de lettres grâce à l' alphabet 3. Le "W" n'étant pas officiel en France, au XVIè siècle, il se place comme le J en 25è position (En référence au grec, à l'alpha et l'oméga, minuscules α et ω et par analogie en majuscules : A-W- voir l'alphabet à 24 lettres  de Trithème)

 

J'ai déjà souligné que les écrits de Nostradamus représentaient une "mine d'or"  pour tous les amateurs de curiosités et astuces lettrées (anagrammes, codes etc.). Il utilisait l'alphabet de niveau 3 comme signe de reconnaissance. Que l'on s'entende bien, ce n'était pas systématique et ses procédés étaient variés. J'avais attiré également l'attention,(comme d'autres commentateurs) sur le fait que tout ce qui était citation de  nombre demandait de la vigilance. Je vous rappelle mon commentaire sur le quatrain citant nommément l'an 1999 (année d'éclipse solaire).

J'ai choisi  volontairement la toute première  édition des "centuries" dont le vrai titre est "Les prophéties de M.Michel Nostradamus" car déjà elle était annonciatrice de certains usages. J'enfonce sans doute le clou en revenant aux fondements. Nous travaillons sur de l'évoqué, du flou. Volontairement, rien ne sera  exprimé plus clairement, c'est là le jeu de "Ma Mère L'Oie", à la fois visuel, audible et nombré. Quand des procédés même à peine évoqués, se répètent fréquemment on ne peut plus parler de hasard mais bien d'intentions.

Eentu-801A-5501-Albi

 

             Corpus Nosdramica N° 86 - 801A-5501- Patrice Guinard (extrait 1  du PDF)

Pour certaines justifications iconographiques et éditoriales voyez également  le Corpus nostradamica N°26.

Par exemple, pour ma part, je lis dans l'image de la gravure certaines lettres. Je vous laisse le soin de les trouver  afin que vous ne puissiez penser que je suis parti, une fois de plus, dans l'un de mes délires, qui doivent paraitre obsessionnels.

Prenons par exemple dans le titre la partie "DE M.MICHEL Nostradamus" Nous observons les lettres DEM qui, à l'instar de AHI (en haut de la croix) se retrouvent, elles, à gauche, dans la croix des huit béatitudes, (version lettrée et chiffrée).  A, H, I est en fait discrètement présent mais en verticale et dans le désordre (H,I, A). Le dispositif restant en croix, cela  nous confirme l'allusion. Nous pouvons aussi  écrire De MM ignorant alors le "e" ce qui avec le N de Nostradamus vaudrait 39. Nous verrons qu'à quelque chose près, ce procédé est répété à la fin du livre.

La répétition du M vaut 22 (alphabet 3) Nostradamus comporte onze lettres. Ce qui fait 33. (en base 12npz c' est équivalent à  39)

La somme des initiales de A Lyon vaut 13 mais Macé Bonhomme   également. En réalité, il y a bien un 3ème 13 mais il est bien caché, il est pourtant célèbre puisque c'est une partie du nom de dieu (qu'il ne faut pas prononcer et invoquer en vain), je veux parler de ( voir mon article 56 sur la gematria) vous le trouverez dans le mot "Cs" précédant "Macé Bonhomme" On aurait pu prendre le N de Bonhomme mais il était plus judicieux de le trouver dans un 3ème vocable et les combinaisons AL HE MB sont préférables.

Nous verrons plus loin l'expression complète de la date.  Elle est intéressante.

 

Je reviens, pour la suite, aux bases, en reproduisant ici (hormis la préface) les tous premiers  éléments des centuries de l'édition  Macé Bonhomme du 4 mai 1555 à Lyon. Le début des prophéties commence ainsi :

Eentu-801A-5501-Albi-2

Corpus Nosdramica N° 86 -801A-5517- Patrice Guinard (extrait 2 du PDF)

 Je reconnais qu'il n'est pas habituel pour moi de vérifier systématiquement  la guématrie ou gematria des mots ou des noms quand bien même serait-ce une gematria sidouri (plus aisée).J'ai d'ailleurs été lent sur certains commentaires du blog.

Ce n'est que récemment que j'ai observé effaré de ne l'avoir pas remarqué plus tot,  que Nostradamus nous mettait dans le jeu, dès le tout premier vers et même le tout premier mot de ses centuries. ESTANT valait en fait, 78, par la somme de la valeur de ses six lettres en alphabet de niveau 3 ; soit précisément 6x13 vaut 78 (en base 10 ou 66 en B12npz) C'est donc aussi une référence au 666 (333 et 333 en base 3 soit 2x39). Le redoublement des F en vers 3 et 4 confirme le 66, 6 et 6 et le comptage en base 12 npz.

Remarquez aussi l'association symétrique de E et S (valeur 26 soit 2x13 en base10 ou s'écrivant  22 en B12npz ) dans SEcret EStude (ce qui est souligné par la césure  de se-cret).Mais la disposition curieuse entourant la lettrine E valant  8 en alphabet 3 : grâce à l'échange avec le 5 du H (du bandeau ornemental). Cet échange est une des caractéristique connu de l'alphabet templier, génère tout contre cette lettrine un autre dispositif très connu : SCS que l'on retrouve dans l'expression six cens souligné par Nostradamus ou ses "amis",  en usage abondant dans les sizains. Ces trois lettres  bien repérées ont été utilisées par d'autres (Compagnie du Saint Sacrement par exemple) ...

 

Les rimes en ain : rain et vain utilisent comme par ailleurs, es  lettres en usage pour les nombres romains, ici V (5) et I(1), ce que je prends pour un clin d'oeil puisque cela rime aussi avec romain. « rain » vaut donc 32 et "vain" et vaut bien vingt ! donc la somme de ces rimes vaut en tout 52 tout comme individuellement, vaut 52 celle de « tude » qui est redoublé : donc l'ensemble vaut 156.

 En ce qui concerne son siège ("selle d'aerain", est-ce un jeu de mot ?), il est question en fait, d'un trèpied et pointe donc  le nombre 3, ce que la gravure de couverture confirme. Nostradamus laisse ainsi entendre que son édifice, le fondement,  repose ("repouse") sur le trois (Cette importance trinitaire est  confirmée dans sa préface).  Là encore, une césure coupe le mot en deux d'ae- rain, la mise en forme semble curieuse, avec des  maladresses que l'on croit justifiées par l'encombrement de la lettrine E. 

Il n'en est rien : "d'ae-" vaut 13 et est surplombé par un "es-" valant 26. Le dispositif repéré par les tirets  répétés des césures, vaut 39. [On pourrait d'ailleurs écrire cette expression de deux autres façons  valant toutes deux 52 : D'é-rai-n ou d'ae-ri- n,  le "trépied" guidant la décomposition.]

Le mot main pour " La verge en maĩ "  est caractérisé par une abréviaton typographique Ĩ (i tilde)=> IN, maĩ est mis pour  main qui malgré  la longueur et le nombre important de lettres du vers,  semble superflue ici : le gain d'une lettre n'est pas  justifié (si je puis me permettre ...) d'autant qu'ensuite on perd de l'espacement avec BRANCHES écrit en petites capitales (ou le L de La prenant de la place : observez les deux F initiants les deux vers précédents, ils montrent bien que l'on ajustait bien ainsi les longueurs de vers à la demande - vous verrez ultérieurement pourquoi),

Mais  maĩ  pourrait être écrit ainsi pour attirer l'attention sur le I(i) indiquant  qu'il vaudrait 1, ce que l'on ne remarquerait pas nécessairement  sans cette abréviation opportune (ĩ) ; ma1n vaudrait alors 26, auquel cas la partie  "verge eN MA1N" est égale à 39.   Ce "maĩ " pourrait également souligner le mois  de mai, le mois de l'édition (confirmé par le V=5 romain de Verge).

 "La verge en maĩ mise au milieudeBRANCHES" surprend aussi par sa typographie particulière avec ses espaces non respectés, et les petites capitales  utilisées pour "BRANCHES", Le vers complet, très "imagé" peut prêter facilement  a une interprétation  coquine ;  cette intention ne serait d'ailleurs pas étonnante de la part de Nostradamus  car  à l'instar de Rabelais (un contemporain), Nostradamus pouvait être très  facétieux, voir même grivois (Appartés, contrepèteries ou commentaires salaces discrets  restaient à l'époque  tolérés de la part de "bons vivants", surtout de la part de personnages puissants ). Une telle attitude presque libertine le démarquait ainsi du puritanisme de certains de ses concitoyens et somme toute le dédouanait de sympathies pour le judaïsme ou la religion  réformée même si elle prêtait forcémment  le flanc aux attaques des puristes. Cette ambiguité (à mon avis  feinte)  avait son revers.

Branches est bien sûr au pluriel, pour le sens et la rime mais nous constatons à nouveau la répétition de e et S  (que l'on n'aurait dans doute pas vu sans  ces curiosités).Les lettres  LA V qui débutent le vers valent 33 soit 3x11. Le monolithique " milieudeBRANCHES" laisse à penser que le mot branches ne devrait pas être au pluriel puisque le milieu de "branche", au singulier, est N,  branche valant alors 36 : 3x12. Cette "fameuse" verge représente donc l'axe des auto-symétriques dont le premier nombre (quelque soit la base) est 11 (11,22,33,44,55,66 etc.), comme m  valant 11 et initiale de milieu.Je rappelle que 11 vaut également 2 en arithmancie (B9npz) comme la valeur de B (de branches) et que BM (ou MB de Macé Bonhomme) vaut également 13 (11 en B12npz). [Je vous passe les LA (13), les  OL et les IR (26)...]

La répétion de "es" en rimes finales laisserait espérer une autre valeur 26 qui ne semble pas présente. C'est méconnaitre Nostradamus. Il nous indique le procédé par le redoublement du & dans "& le limbe & le pied" ; & est l'abréviation de et, son initiale est donc E, il y a deux rimes en "ied"  mais si l'on soustrayait les e, cela devriendait "id" or id vaut 13, multiplié par 2, nous avons "notre" 26. Ce mécanisme est confirmé par les deux "di" de "divine" et "divin" dans le dernier vers qui en appelle un troisième DI qui ne peut être que celui inversé  de "s'assIeD".  Les rimes terminales en  "es" et  "id"  de ce quatrain valent donc 78 en tout.Inversons l'ordre et nous aurons ides. Consultez le lien wikipédia correspondant et vous comprendrez que l'association ES ID  faite par Nostradamus était bien intentionnelle.

En effet « limbes » commence par L de valeur 12 mais est immédiatement suivi de i, ou I(1 romain) cela fait 13 quant à « pied » il n'est pas nécessaire d'user du 1 romain : P vaut déjà 15, soit un total de 28 correspondant aux « ides » tombant soit le 13 soit le 15. Vous me direz, « c'est quand ça vous arrange »., mais « lImb » vaudrait ainsi 26 et « pi(e)d » 28 (13+15), la « coïncidence » était un peu trop belle et vous aurez d'autres justifications (partie B).

Pour terminer sur l'analyse du deuxième quatrain, je vous demanderais de prendre note des lettres initiant les 4 vers : soit LDVS. Si nous nous en tenions à la valeur habituelle de V  c'est à dire 20 nous n'obtiendrions rien de probant. Or en utilisant la valeur 5 du chiffre romain, nous arrivons au décompte suivant : 12+4+5+18 =39. Nous avons déjà vu dans des articles précédents que ce subterfuge est souvent utilisé par Nostradamus.

"le Diuin" fait également l'objet d'une astuce (plus difficile à percevoir), bien que le caractère U soit curieusement utilisé et répété  avec insistance. Cette "erreur", surtout sur ce mot là,  n'était plus courante à l'époque, son utilisation inverse, le V à la place du U était par contre plus habituelle puisque le V faisait jadis office du U (alphabet latin  antique), notamment lors de la transcription de textes anciens ou en latin. Observez, par exemple, le mot "CENTVRIE" dans l'extrait 2 du CN 86. 

"La verge"du début de quatrain  montre bien que le V peut-être utilisé à bon escient et qu'il faut peut-être justement se servir du V pour corriger les coquilles ou "fautes typographiques".

Il faut donc bien entendre, ces U  comme des V, ce qui avec I (i) qui suit donne VI, le 6 romain, la numération pour LE DI(VI)N devient alors 12+8  +  4+9+6+13 = 20+32= 52 soit 4x13.  Peut-être  n'a ton pas voulu répéter de façon trop flagrante l'analogie avec la numération romaine, ou tout au contraire, on souhaitait attirer discrètement l'attention sur le procédé. Il faut noter qu'en cas d'utilisation du "U",  "DIUIN" vaudrait 56, nombre qui semblait avoir titillé Nostradamus (voir articles précédents). Il semble nous en donner une décomposition particulière 13+ (21+9) + 13 ce qui une fois de plus met en exergue le 30 (FZ) déjà repéré dans ce blog. 

Fort de cette observation le premier "divin" du vers, ou plutot "divine" vaudrait  32+8=40 or SPLENDEUR soit 18+15+12+8+13+4+8+21+17 vaut 116 soit en tout  156 ou 2x78 pour "Splendeur divine".

De même façon la somme des premières lettres commençant les vers du premier quatrain, ESFF, valent 38.  comme le mot "Graal" (38) mais ce déficit reste  frustrant sans la présence du "Roi" (graal + roi = 78)!

A moins que ... A moins (ou plus A!) que l'on ne considère  l'ordre de la fin du dernier vers de ce quatrain  de façon  différente : "... n'est croire A vain."  qui laisserait entendre que le A de "Fait" n'est pas à négliger (ne pas"croire A vain") en effet Fa ( ce premier A est préférable) vaudrait 7 équivalent à G (de Graal ...),  l'association avec le F de "Flambe" vaudrait alors 13 indiqué par le n de "n'est", FG est une opposition repérée dans le message crypté  (voir l'article Funny Zapping Indeed) .  Avec cette opération, nous retrouvons alors le 39 attendu. Il va de soi qu'il était difficile de repérer l'astuce sans avoir connu au préalable ce que l'on cherchait.

Cela nous ferait deux "39" soit un 78 vertical pour deux horizontaux disposés en L (couché) mais ce serait oublier les autres 39, 52 ou 78. Avec eux, l'octain est littéralement encadré ! 

Je vous reproduis pour finir ces extraits, une partie de la dernière page  du livre :

 

centu-grav-fin-Albi-3

Corpus Nosdramica N° 86 -801A-5591- Patrice Guinard (extrait  de  page )

Le mot, ce n'est pas coutume à l'époque (voir CN 26), apparaît dans cette édition. FI=15 +N = 28 (Référence DM et ides ?). Je n'ai rien décelé  de très probant dans la vignette de bas de page (que j'ai malgré tout gardé). Tout juste peut-on remarquer une forme circulaire assimilable à un O, ce qui avec le H  de la vignette du début des centuries donnerait 19, un nombre symbolique : 1+6+12 (voir  XL-AGNT).   

Mais peut-être faut-il considérer la forme du titre de couverture traditionnellement en V ( Mise en page plutôt fréquente chez les imprimeurs de l'époque) soit de valeur 39 en tout ?

Quoiqu'il en soit on retrouve l'association du 20 avec V ("Vie et prospérité")et du 19 avec T (lettrine) dans la préface dédiée à son fils César, tandis qu'on observe un N très discret dans la vignette chapeautant la page ( CN 86- 801A-5503).

Je vous établis une autre correspondance : ce H, une lettre participant au tetragramme sacré des juifs  est traduit par la lettre O dans le message caché de la traduction de Nostradamus d'un ouvrage de Galien. Ce tetragramme vaut 26 selon la gematria hébraïque. Il se trouve qu'en tenant compte des remarques de l'article alphabet christique nous aurions avec la variante proposée, une valeur que Nostradamus "craignait", mais qui somme toute reste en lien avec la gematria hébraïque. Je vous laisse chercher ( dans le même esprit) pourquoi  l'église catholique a préféré utiliser la traduction "le Seigneur"  pour le tetragramme.

Il m'a semblé, dans les dispositifs repérés observer une sorte de récurrence des procédés, les trouvant en couverture, en début de centuries et en fin ( je n'ai pas observé les autres vignettes).

J'avoue mon ignorance pour ce "k ij" de fin, sans doute était-ce une convention d'imprimeur pour signifier la fin d'impression ou bien, est-ce que  cela appelait une suite (lien CURA donné pour l'édition 1557) ? Quoiqu'il en soit cette marque, vaut en alphabet 3,  10+9+25 =44.

J'attire par contre l'attention sur le redoublement des MM en majuscules (valeur 22,moitié de 44). Ce procédé confirme celui de la couverture. Les deux procédés étant additionnés nous aurions bien alors 44.

Nous retrouvons l'association  ID dans "Iour De" soit la valeur 13,   I I I I et MM   nous fournissent la valeur 26 manquante pour obtenir 39. C'est bien, comme annoncé,  à peu près le même procédé que nous avions vu au début pour l'analyse de la couverture.

Le deuxième M  marque aussi une différence typographique dans l'écriture des nombres : les lettres D.  LV.  écrites en petites capitales   se trouvent donc à part, ce qui ne signifie pas qu'elle doivent être négligées !

Le quatre romain est écrit avec quatre barres (ce qui était courant à l'époque) mais souligne l'usage des 1 (un) que l'on trouve dans 555 (DLV) soit 5x111.

Nous avons vu l'intérêt de ce nombre 555 (voir l' article 56 sur la gematria hébraïque)..  Nous avions constaté alors l'usage d'une série du type: 1a,11a,111a, a étant un entier naturel donné (de 1 à 9 pour notre affaire) . Soit ici  a=5 pour  [5 ; 55 ; 555] ; 5x1 pour V ;(et mois de mai) , 5x11  soit 55 pour  LV.. (lettres groupées) et  5x111 soit 555 pour D. LV.

 

L'usage du 4 (4 mai ou 44 de k ij) semble indiquer que nous devrions faire de même en complétant cette série avec 444.   ce qui par sommation des deux  nous renvoie à  999 qui  peut se refléter comme 666 par une double opération de miroir Cela nous renvoit bien à notre tout premier "666" de ESTANT (78) commençant ce premier livre.(Nous pouvons retrouver également  la référence à 1999 (centurie X, quatrain 72) si l'on rétablit M pour la valeur mille.)

Cet article fait l'objet d'une suite. (B) 

SergioH, i  sam.25 janVier 14 (ou 25.1)

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Les commentaires sont activés et  bienvenus (voir espace  plus loin) : après  lecture, je les  publirai à la suite de l'article ,

 

en général, je réponds volontiers ...

    

 

 

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